Exposition Croquis cartographique à la galerie Michel Journiac à Paris
J’ai co‑organisé et participé à l‘exposition Croquis cartographiques, à la Galerie Michel Journiac, Paris. Au sein de cette exposition, j’ai amorcé un projet plastique intitulé Cartographie des grottes de la vallée de Bâmiyân autour des plans relevés par l’archéologue Zemaryalaï Tarzi de l’intérieur des grottes qui se trouvent tout à coup projetées sur la transparence des vitres de la galerie, laissant une ligne autonome envahir et cerner des espaces dans les ombres projetées qui pénètrent le lieu. J’ai invité l’architecte Yona Friedman à réagir avec l’artiste Jean‑Baptiste Decavèle par un relevé au sol d’une écriture idéographique, un dictionnaire pictographique de Yona Friedman sous la forme d’un jeu de cubes proposé en regard de la projection de la cartographie expérimentée et imaginaire des grottes de Bâmiyân : il n’y a pas de transcription possible des territoires sans un rapport au langage. Ce qui lie la carte au dictionnaire, c’est l’analogie, il y a une analogie de la reconnaissance. Des traductions, transcriptions pour déchiffrer le monde, libre de déposer les cadres et de multiplier leurs mouvements.
J’ai co‑organisé et participé à l‘exposition Croquis cartographiques, à la Galerie Michel Journiac, Paris. Au sein de cette exposition, j’ai amorcé un projet plastique intitulé Cartographie des grottes de la vallée de Bâmiyân autour des plans relevés par l’archéologue Zemaryalaï Tarzi de l’intérieur des grottes qui se trouvent tout à coup projetées sur la transparence des vitres de la galerie, laissant une ligne autonome envahir et cerner des espaces dans les ombres projetées qui pénètrent le lieu. J’ai invité l’architecte Yona Friedman à réagir avec l’artiste Jean‑Baptiste Decavèle par un relevé au sol d’une écriture idéographique, un dictionnaire pictographique de Yona Friedman sous la forme d’un jeu de cubes proposé en regard de la projection de la cartographie expérimentée et imaginaire des grottes de Bâmiyân : il n’y a pas de transcription possible des territoires sans un rapport au langage. Ce qui lie la carte au dictionnaire, c’est l’analogie, il y a une analogie de la reconnaissance. Des traductions, transcriptions pour déchiffrer le monde, libre de déposer les cadres et de multiplier leurs mouvements.
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